HISTOIRE D’UN CONTACTE

Article basé des extraits du livre « Histoire d’un contacté » (hespérides éditions). Illustré de dessins originaux, il s’agit d’un témoignage recouvrant un parcours de vie au cours duquel des événements et des rencontres m’ont guidé vers des Intelligences Non Humaines de nature intra-terrestre.

La base de ce cheminement est en rapport avec les labyrinthes qui ont autant marqué ma signature de vie, de personnalité et d’âme qu’ils m’ont guidé et accompagné lors d’expériences initiatiques extraordinaires.

Cette voie d’expériences multiples forme une cohérence existentielle et compose les éléments d’une unité spirituelle que je retrace avec mes rapports de faits vécus. Ces Intelligences Non Humaines me transmettent des informations dont je partage littéralement les modalités de fonctionnement, ainsi que leurs contenus d’informations, à éviter de confondre avec des messages. Le lien direct ci-dessous :

https://www.hesperides-editions.fr/produit/histoire-d-un-contacte/

LA VOIE DU DRAGON

Lors du passage du 20ème au 21ème siècle, beaucoup de cérémonies et de rituels furent organisés par bon nombre de groupements spirituels aux obédiences diverses, pour célébrer l’événement de bascule du millénaire. Autant pour clore et ouvrir un cycle centenaire que pour honorer de manière formelle l’ouverture l’ère du Verseau dans ses premiers soubresauts.

Lors des premières nuits de l’an 2000, notre planète traversait l’essaim météoritique des Quadrantides. Cette nuée donne l’impression de jaillir d’une zone comprise entre les constellations du Bouvier, de la Grande Ourse et du Dragon. Ce phénomène en précédait de quelques jours un autre, celui d’une éclipse de la pleine lune produisant sur le disque nocturne un éclat singulièrement rougeoyant.

Ce fut ce moment choisi au carrefour de divers phénomènes astraux, pour vivre une expérience extraordinaire.

Comme partagé dans un précédent livre (La voie initiatique du labyrinthe) , je participais régulièrement à cette époque de mon parcours initiatique, à des marches sur le feu pour honorer tous les corps, des célestes les plus subtils ainsi que mon support organique, lors des solstices d’été. Je vivais ce rituel incontournable et précieux dans ma démarche de connexion tant à Mère-Nature, au Cosmos, qu’au cœur de mon âme afin d’aligner tous ces éléments : n’être qu’Un.

Je saisis cette transition unique d’année et d’ère simultanées, pour m’exposer exceptionnellement en conscience mystique lors une marche sur le feu, au plus proche de la période du solstice d’hiver, tenant compte de cette formidable opportunité astrale. Ceci constituait une épreuve singulière dans la mesure où cette initiation se déroulait ordinairement en été dans l’hémisphère nord. À situation unique, événement rarissime.

Contrairement aux expériences estivales qui se passaient en montagne ; respectant la loi du paradoxe, notre groupe était appelé dans les Landes, à proximité d’une clairière cernée par une forêt de pins, à une centaine de mètres de l’Océan Atlantique. Le froid de la nuit hivernale et l’humidité de l’océan proche étant antinomiques avec les conditions traditionnellement requises, nous savions -tous les participants- que l’expérience d’alignement intérieur devrait être particulièrement exigeante en termes d’engagement personnel, de révélation de conscience qui ne pardonnerait pas en termes d’impact des braises sur les pieds. Le moindre écart de concentration et de présence dans l’ici et maintenant pouvait générer des graves brûlures.

Les préparatifs du feu furent scrupuleusement exécutés, telle une armée de fourmis, tous les individus au service de la fourmilière, à la mise en place du passage entre terre et ciel, à la combustion ordonnée du bois selon un ordre immuable, à l’entretien des braises de manière respectueuse par rapport à l’élément igné, avant d’exceptionnellement, pour cette marche unique, se choisir en binôme pour le passage sur  le feu, et enfin d’honorer les rites appropriés en pareilles circonstances. Les vagues de marcheurs se succédaient à un rythme soutenu. Les éléments tout autant que les âmes des « expérienceurs » l’exigeaient ainsi, pour être prêts à vivre une fulgurance, proche de ce que nous pourrions nous représenter avec l’éclair.

À notre tour, nous marchions sur le feu en binômes, seuls devant cette piste ardente de braises rougeoyantes, perlée d’éclats d’une blancheur immaculée et de reflets d’un violet extrêmement profond, je me suis senti en pleine conscience, sans peur ni sentiment de défi, face à une entrée vers un autre monde. Par une extraordinaire synchronicité, dès l’instant où nous impulsions nos premiers pas couplés, à l’autre bout de la voie de braises ignée, une flamme violacée auréolée d’un voile incarnat se dressa des braises pour composer ce que tout le monde observa, une tête de dragon ouvrant sa gueule béante. La gorge béante, la langue rouge vermillon débordant de la gueule ouverte, les yeux d’un blanc cristallin, étaient cernés par un visage mouvant irradié par des mouvements serpentins. De pas volontaires, résolus et confiants, le doute devant être absent dans ces instants de vibration à haute intensité, nous nous sommes dirigés vers cette entité pour franchir cette porte qu’elle nous proposait. L’accès à ce passage constitué de braises ignées était intensément embrasé, brûlant et piquant. Lors d’expériences initiatiques paradoxales de cet ordre, le feu pouvait mordre, meurtrir la peau et la chair avec une vigueur proportionnelle à l’état de déséquilibre et de désalignement intérieur de l’adepte. Une sorte d’expérience dans le réel qui court-circuite complètement le mental, l’ego et les représentations illusoires des formatages de la fonction pensée, tout en activant les potentialités spirituelles de l’initié.

Ce vécu de quelques secondes eut pour effet de me confirmer que j’étais à ma place, sur le juste chemin, de vérifier que l’absence de brûlure attestait ce constat, et que je m’ouvrais de nouveaux horizons dont je ne dessinais pas encore le moindre contour, sans être entièrement maître de ma destinée. Ce qui était imprimé dans tout mon être, c’était cette sensation inouïe sur la plante des pieds qui pourrait se résumer avec la formule connue d’une saga mondialement connue : « La Force est en Toi », en rajoutant « Nul ne peut te l’enlever ni l’effacer ». En fait j’avais -j’ai toujours, cet éclair peut se comparer à une connexion à la foudre au risque d’y mourir- d’avoir été contacté par un autre univers que je ne connaissais pas dans cette vie. Je reconnaissais par transcendance de corps/support organique au-delà de cette existence, une autre dimension, une ouverture vers d’autres plans, sans pouvoir à l’époque y mettre des mots et une conscience associés.

Une graine était semée…

Le processus d’ensemencement était définitivement engagé et implanté en moi, au risque, en cas de renoncement, de me perdre au niveau spirituel, vis-à-vis des anciennes incarnations, et de celle-ci, en priant pour que ce soit l’ultime dans ce monde. Dans les cycles dits karmiques, j’étais sûr de vivre, à la façon dont je le percevais à l’époque, une période cruciale. Une porte, des ouvertures que, pour le salut de mon âme, de mon Être Intérieur, je devais franchir et continuer d’avancer, d’explorer ces autres réalités. Même si j’ignorai complètement le chemin qu’il me restait à accomplir. Au moment où j’écris ces mots, j’en suis au même point, toutefois, autrement…   

         

OBSERVATION OVNI le 27 AOUT 2017

Le jour où tout a changé, un avant et un après…

Ce qui suit ci-dessous est extrait du rapport transmis à la Gendarmerie Nationale à destination du GEIPAN (Groupe d’Étude et d’Informations des Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés).

Avec ma compagne, nous avons vu un « Objet volant » OVNI le 27 aout 2017 à 21h31(heure précise vérifiée grâce à la datation des clichés effectués avec le téléphone portable) sur la route de notre retour d’une sortie près de Lourdes (64). Cette journée avait été consacrée aux contacts opératifs avec les mondes et les entités invisibles de l’univers.

Nous étions sur la route du retour en direction d’Oloron Sainte Marie, il était 21h30 environ, il faisait nuit lorsque ma compagne (passagère) a aperçu dans le ciel un ovni de forme ronde ou ovoïde.

J’étais le conducteur de la voiture, je me suis arrêté sur le bas-côté, très rapidement, affaire de 20 secondes environ (je roulais lentement à 50-60km/h environ) car, comme par hasard, il y avait un accotement pour stationner hors agglomération, sur la route départementale.  J’ai tenté de filmer quelques secondes avec mon téléphone portable, faute de sensibilité de l’appareil et sans stabilité corporelle, je n’ai retiré aucune image (vérifié sur mon ordinateur).

J’ai fait le choix d’observer le phénomène de visu. Même constat de ma compagne : objet rond ou ovoïde en tout cas, impression selon le halo lumineux. Il était assez compact, comportait dessous 5 à 6 lumières rouges stables (non clignotantes).

L’objet volait à basse altitude (dessous la ligne de crête de la montagne qui se distinguait sur les parties non nuageuses du ciel) en direction d’Oloron Sainte Marie. Il n’émettait aucun bruit, aucun bruit non plus dans la nature, le silence était complet. L’allure de l’objet était lente et régulière, puis il a accéléré progressivement (sans atteindre une grande vitesse) pour entrer dans les nuages situés à l’ouest du panaroma visuel. Côté occidental de notre point de vue, les nuages étaient assez bas.

Nous avons perdu de vue de l’objet sans le voir réapparaître (attente 30 secondes environ après sa disparition à notre vue).

Cela a duré peu de temps.

L’observation s’est déroulée sur la CD 35 entre Asson et Bruges-Mifaget dans le département des Pyrénées Atlantique. Silence total durant toute l’observation.

Je conduisais la voiture concentré sur la route départementale. Ma compagne m’a demandé de regarder sur ma gauche et j’ai vu très nettement des lumières rouges dans le ciel.

Nuit noire, pas d’éclairage public sur la route, pas de circulation ni devant nous, ni en face, ni derrière nous.

J’ai trouvé très rapidement un espace sur le côté droit de la route pour m’arrêter et faire ma propre observation de l’objet volant.

La vitesse de mon véhicule était modérée environ 50-60 km/heure, car c’était un secteur à virage.

La durée de l’observation fut de 3 minutes. Le temps de s’arrêter, de sortir de la voiture, de réaliser la nature de l’observation et de la photographier avec le téléphone portable, d’observer dans un état contemplatif jusqu’à la disparition du phénomène observé, attendre une éventuelle sortie des nuages.

Après le stationnement, j’ai facilement revu le phénomène dans le ciel. Ciel dégagé au début de l’observation. Nous avons vu clairement l’objet se déplacer lentement sur notre gauche, direction Est-Ouest à assez basse altitude pour pouvoir apercevoir 5-6 lumières rouges stables formant un disque ou ovoïde par effet d’optique (angle de vue/objet).

Taille apparente : difficile à dire, assez gros une dizaine de mètres.

Angle de l’observation : 45 degrés maximum. Angle constant de l’objet observé.

Trajectoire du phénomène : Ligne droite direction Est-Ouest sans changement de direction mais vitesse lente constante puis accélération progressive à l’abord du groupe de nuages qui était assez bas.

Pas d’effet observé sur l’environnement.

État émotionnel : Curiosité. Sans peur, sans sensation de danger imminent.

Nous avons décrit notre observation et  montré nos photos à des amis qui ont été intrigués, dont un pilote d’hélicoptère, et répondu à leurs questions (sorte de briefing) pour vérifier la cohérence de notre description et la fiabilité de notre vécu : Pas d’interprétation, ni fantasme. La réalité d’avoir observé un phénomène jamais vu. Par déduction, rien de connu.

Pas de bouleversement dans ma façon de vivre. Une expérience personnelle partagée de visu qui confirme des informations sur les phénomènes non humains (objets et sujets) dont j’avais déjà connaissance.

 

BATYS-LABRYS, LA RENCONTRE

Le 12 décembre 2017, je me rends en voiture d’Oloron Sainte-Marie à Pau vers 19 heures. La nuit est noire, sans pluie, sans vent. Alors que je roule sur une portion du trajet sur la route dénuée d’éclairage artificiel, avec un flux de circulation faible, je vois une forme vivante apparaître sur mon pare-brise. Il s’agit principalement d’un visage à la teinte bleutée, aux traits et au regard reptilien. Le reste du corps se figure en perspective derrière cette tête.

Dans un premier temps, je suis surpris par cette présence inattendue, sans que mon état émotionnel soit perturbé. Je continue de rouler toutefois en ralentissant l’allure et restant vigilant sur ma conduite pour sauvegarder ma sécurité, continuer de rester sur le bon côté droit de la chaussée, d’éviter de sortir de la route. Je suis lucide et je refuse de me préoccuper à chercher une aire de stationnement pour éviter de me déconcentrer. Je perçois immédiatement un contact s’établir entre nous. Plus exactement, j’ai conscience que cette entité entre en contact avec moi. Mon esprit reste ouvert à cette relation tout en maintenant mon état de vigilance par rapport à la conduite. L’entité me regarde de ses yeux jaunes, c’est par leur intermédiaire que passe le flux télépathique. Le reste du visage est relativement immobile tout en donnant des signes d’une respiration régulière. Pour moi, c’est clair dans mon esprit du moment, j’ai à faire avec un système vivant, non une image.

Comme durant l’expérience vécue quelques mois auparavant, une fois le « test initial de contact » établi, j’ai pleinement conscience que je reçois en toute lucidité, par télépathie un chargement d’informations dont, sur le moment je n’ai aucune idée quant à sa teneur. Cependant je vis toute la durée de cet épisode dans un état de calme intérieur, sans y ressentir d’exaltation face à un évènement extraordinaire, sans être non plus saisi par de la peur relative à la créature ou par rapport à la sécurité routière. Cette situation dure à peu près deux minutes. Au terme de ce temps de connexion, je m’approche d’une zone pourvue d’éclairage public qui se présente devant moi.

La disparition de l’entité devenue effective, je continue de rouler lentement avant de m’arrêter sur le bas-côté dès que possible afin d’intégrer cette expérience inédite pour moi. Je prends le temps de méditer -je pratique quotidiennement- pour incorporer le maximum d’éléments et mémoriser les divers aspects annexes de l’expérience (ma perception, mes ressentis, l’acceptation du fait accompli, la conscience d’éviter de refouler tout élément tant tangible que vécu).

Arrivé à destination, j’ai rencontré les quatre personnes prévues dont la réunion avait pour but d’envisager et préparer des conférences pour une association dont elles étaient référentes et responsables. J’étais présent dans le dialogue tout en sentant dans mon corps des effets du contact précédent : circulation d’énergie intense dans tout mon corps, nécessité de me recentrer discrètement afin de ne pas être parasité par ce que je venais de vivre tout en entretenant la mémorisation.

Sur le chemin du retour, j’étais volontairement prudent sur le route en me projetant à l’idée d’être de nouveau contacté car j’avais à ce moment-là la conscience d’avoir été contacté même si je n’avais pas la teneur de ce contact. Au domicile, peu après minuit, je me suis saisi d’une carte de France sur laquelle j’avais déjà marqué de points tous les sites où il y avait des labyrinthes et des déambulatoires. J’ai fait spontanément le lien entre le téléchargement du vingt-sept août précédent et l’événement vécu à l’instant. Dans  mon esprit sont apparues la continuité et la cohérence de ces deux rencontres.

En l’espace de quinze à vingt minutes maximum, j’ai retranscrit la forme de la créature avec les traits pour la forme générale et ses détails, ainsi que les couleurs sur l’ensemble. J’étais dans un état de transe sereine.

En contact avec l’entité et avec moi-même en tant que Dominique. Le dessin effectué, comme si ce dernier était un miroir, l’entité vivante a repris un mode de communication télépathique. Sans que je ne lui demande rien, elle m’a donné son nom : « Batys Labrys ». Vu mes connaissances et expériences avec les labyrinthes, j’ai spontanément compris que Labrys » faisait référence au mot labyrinthe dans la langue grecque. C’est alors qu’elle m’a indiqué le lien avec « Batys » : la déesse égyptienne Bat, dont je n’avais jamais entendu parler. De suite, j’ai fait une recherche sur internet avec ce mot clef. J’ai trouvé que Bat était une déesse des mystères et des profondeurs. Sœur d’Isis, Hathor et Nephtys, à elles quatre, elles composaient une quadripartie en Un du féminin primordial dans ces quatre forces cardinales. Ces deux éléments nominatifs me confirmaient mon ressenti initial, c’est-à-dire la nature féminine de l’entité, en plus d’être dragonique : donc une dragonne.

 

Suite à cette évidence, j’ai immédiatement pris conscience du lien entre l’énergie des labyrinthes avec l’apparition : mon moyen -ou par l’intermédiaire de mon Être Intérieur- de connecter une véritable émergence avec des forces de l’Intraterre dans la perspective de connexion par effet de base, avec les forces de l’Univers, de l’Extraterre.

J’ai saisi comme une révélation intérieure -pas intellectuelle-, plutôt une verticalité spirituelle. Pour relier le Grand Tout, je devais passer -non pas il fallait- par le Tout du dedans pour me relier avec le Tout du dehors. Mon histoire, ma trajectoire, mon parcours prenaient un sens avec une autre acuité, une nouvelle conscience.

Dans les jours qui suivirent, je fis des recherches avec la guématrie pour préciser les informations intuitivement perçues et en vérifier la cohérence. Ainsi, je trouvais les relations numériques. Les trois formulations suivantes en guématrie associées à la numérologie indiquent un triple regard sur une même réalité. En cela, il y a une analogie avec le langage des Anciens Égyptiens qui disposaient de trois grilles d’interprétations allant du basique à l’ésotérique. Ce que j’indique ci-dessous m’a été guidé par voie télépathique. J’avais conscience que si je ne répondais pas à ces recommandations, proches d’ordres directs, je n’aurai plus de contacts. Ainsi, les mots et les patronymes ont un sens à divers degrés d’entendement, de vibration, de discernement.

Livres exclusivement disponibles auprès de l’auteur, par rencontre directe ou via ce lien : https://www.hesperides-editions.fr/boutique/

A suivre : des labyrinthes aux portes de l’Agartha 3ème partie : les informations reçues…

« Batys-Labrys »