DES LABYRINTHES AUX PORTES DE L’AGARTHA – 1ère partie

J’aborde, maintenant parce qu’il est temps, le sujet du lien des labyrinthes, voie privilégiée et initiatique vers le centre de toute chose en Soi, avec la Terre Intérieure souvent dénommée : « l’Agartha ». Je partage et témoigne de mes expériences et de ma quête qui m’ont guidées pour établir des relations entre le cœur en Soi, le cœur de Gaïa la planète terre et le cœur de l’Univers; entre les mondes visible et invisible, entre les vies existentielle et spirituelle simultanées, entre les Intelligences humaine et non humaine.

Pour étayer cette approche, je propose ici un extrait de mon livre « Histoire d’un contacté » dans lequel je développe l’ensemble de mes expériences et de ma trajectoire de vie depuis mon jeune âge, ponctuée d’événements majeurs qui m’ont permis de retracer sous la forme de témoignages, des faits personnellement vécus. 

Cet extrait restitue un aperçu dans ou avec lequel, chacune et chacun, puisse y retrouver avec des repères qui lui sont propres, un fil conducteur permettant de vivre une relation spirituelle avec un autre monde, une autre perception des réalités…

 

1 – LA VOIE SPIRITUELLE DES LABYRINTHES

« La voie initiatique du labyrinthe » guide vers le développement et/ou l’accomplissement de la quête -la conquête ou la reconquête- de l’Unité Intérieure chère à toute personne désireuse de trouver son « cœur », son centre, là où résident toutes les potentialités de l’Être Intérieur, qu’elles soient connues et identifiées ou non, reconnues et conscientes ou non. Cette voie préalable à une démarche initiatique orientée vers les mystères est une priorité chez tout(e) adepte du sens de la Mort et de la Vie afin d’emprunter le pont, le passage, le tunnel, le couloir qui relie les rives de la Voie de l’Unité à celle du Tout, du Visible à l’Invisible.

L’expérience, la connaissance, le vécu intime et secret en Soi, au sein de l’Âme engendrent un regard déterminant sur l’Autre, l’Univers et l’Invisible. Ces éléments constituent la caractéristique d’une spiritualité authentique, dépouillée des divers oripeaux religieux.

 

1 – 1 Mythologie et spiritualité. Les voies spirituelles sont diverses et variées, elles peuvent être le fruit d’un enseignement traditionnel, un engagement dans une discipline de créativité engageant passionnément l’Être Intérieur, la pratique de la méditation (étymologiquement : écoute intérieure) associée à une ouverture de conscience holistique.

En ce qui me concerne, la relation avec le labyrinthe embrasse tous ces aspects. Après avoir étudié les mythologies grecques, égyptiennes, celtiques, japonaises et amérindiennes du nord, j’ai longtemps partagé l’idée que les mythes concentraient « l’Intelligence de l’Humanité » par le fait qu’elles évoquaient toutes -de manière différenciée du fait des expressions culturelles de ces civilisations- des constantes que nous appelons des archétypes : la mort, l’amour, l’instinct, le pouvoir et le lien entre dedans et dehors, les synchronicités, la Persona et l’Ombre, Soi et l’Autre, l’incarnation et l’esprit, la matière et le vide, le profane et le sacré, l’existentiel et le divin, le besoin et la capacité de transcender l’invisible…

 

1 – 2 Dans mon esprit, cette dimension du mythe est toujours pertinente car elle nous permet de vérifier, d’une part l’universalité de l’humain avec son environnement et d’autre part les nombreux éléments qui unissent davantage les états de l’humanité vis-à-vis de ceux qui les séparent. Ce dernier point est le plus souvent la conséquence des complexes, qu’ils soient « d’infériorité », de peur, de « supériorité », de pouvoir, en alimentant les relations dominant/dominé.

Maintenant, j’en suis arrivé au point que les mythes nous racontent également des histoires qui sont réelles et décrites selon les façons dont les hommes ont pu les exprimer à travers leurs époques, avec leurs expressions de références culturelles et leurs langages singuliers. Par exemple, les descriptions de chariots et/ou de personnages ailés utilisent à l’envi des formulations donnant une idée d’engins volants et de créatures libérés de la loi de gravité et ou venants de l’espace avec la maîtrise de l’air. Toutes les mythologies de tous les continents, expriment à leurs façons différenciées ces événements que nous identifions de nos jours avec les phénomènes OVNIs.

 

 

1 – 3 Pour expliciter ce sujet, la mythologie grecque nous décrit parfaitement comment la cosmogonie (création de l’univers et des hommes) s’est déroulée avec des rencontres, et souvent des guerres -entre les dieux, avec le plus souvent les participations d’extraterrestres et parfois d’intra-terrestres- suivant une chronologie des époques. Ces créatures et/ou ces intelligences non humaines font constamment référence aux quatre âges évoqués dans toutes les Traditions : des Cyclopes, aux Géants, aux Titans et aux Olympiens. Dans les descriptions, nous retrouvons des êtres asexués, bisexués, hermaphrodites jusqu’aux êtres sexuellement différenciés. Plus nous remontons dans les anciens temps, moins les éléments sont précis, plus ils nécessitent d’avoir une vision globale et une perspective « cybernétique non conventionnelle » pour y distinguer de façons cycliques des déroulements simultanés sur des plans singuliers : L’analogie du développement corporel et spirituel des créatures mythiques avec celui de l’être humain.

 

1 – 4 Actuellement, nous sommes encore dans le temps des Olympiens gouverné par les six déesses et les six dieux en parfaite parité, si ce n’est une prédominance masculine par le fait que Zeus (Jupiter chez les Romains) est celui qui a sauvé ses frères et sœurs du dévorant appétit de Kronos leur géniteur de père. L’univers olympien définit une absence de relation bilatérale entre les dieux et les mortels, si ce n’est un rapport de domination des puissants sur les esclaves adamiques par la  soumission de ces derniers.

Ceci étant évoqué, il est important de noter qu’à notre époque, nos relations avec des Intelligences Non Humaines reproduisent ce même schéma collectif dans lequel les Extraterrestres et/ou les Intra-terrestres sont perçus comme des menaces. Ainsi, nous les humains, nous projetons sur eux nos instincts guerriers de destruction, nos dispositions à tuer « l’étranger », nos réflexes ataviques de conquêtes de territoires nouveaux pour combler nos manques spirituels par des recherches de richesses.

 

1 – 5 L’approche spirituelle du labyrinthe se situe dans ce contexte. Là où les forces divines sont déterminantes, en premier lieu avec Poséidon (Mercure chez les Romains). Ce dieu est le plus souvent représenté sur son char tiré par quatre chevaux blancs émergeant des puissantes vagues de l’océan. Armé de son célèbre trident -reçu des Cyclopes-, il l’exhibe haut vers le ciel pour prendre la force du tonnerre. Cette arme-attribut relie et unit les forces de l’air, de l’eau, du feu et de la terre. Comme d’autres dieux dans d’autres civilisations, Poséidon incarne la maîtrise absolue sur les quatre éléments de base. Partie souvent méconnue de son histoire, Poséidon est un dieu chtonien. Son pseudonyme divin « L’Ébranleur du sol », témoigne de ses responsabilités dans les catastrophes naturelles, surtout les tremblements de terre et les tsunamis. La force conférée à son trident magique peut se rapprocher à celle de Shiva chez les Hindouistes dont les trois pointes symbolisent la création, la permanence et la destruction. Ces trois mots-clefs permettent de comprendre le sens spirituel de l’expérience dans et avec le labyrinthe.

Poséidon est le dieu -hors normes humaines- du mythe du labyrinthe. À son égard, nous pouvons également nous interroger sur son lien avec l’Atlantide, ce continent perdu dont la capitale se nommait Poséidonis. Cette île qui a fini par être engloutie dans les profondeurs de l’océan, relation par clin d’œil à l’Océanide et Néréide Amphitrite, la divine épouse de Poséidon. Ce lien avec la mer, la mère, la Mère, la Grande-Mère nous renvoie aux Origines.

 

1 – 6 Le mythe du labyrinthe se construit autour de trois personnages majeurs -parce que générés par des dieux- que sont Minos, Thésée et Minotaure. Dans la compréhension des mythes, ceux-ci sont des Héros, c’est-à-dire enfants d’un dieu et d’une mortelle, donc mi-dieu et mi-homme, autant ni dieu et ni tout à fait homme. Nous pourrions dire que ces Héros sont génétiquement modifiés par leurs ascendants divins dans le but de transcrire leurs désirs, leurs luttes intestines et leurs objectifs par rapport au plan ordinaire de « l’humanoïde adamique ». Pour diverses raisons qui leur appartiennent, ces trois personnages ont, par cupidité, loyauté et ignorance, méjugé, négligé et méconnu leurs appartenances en parties divines.

Minos est fils de Zeus, le frère de tous les Olympiens et leur roi. Du côté maternel, le roi de Crète est l’enfant d’Europe « Large vue ». La mère de Minos est représentée en bovidé, à cette époque, symbole solaire de force et de prospérité. Son enlèvement est souvent figuré par des artistes peintres inspirés par les faits mythologiques. Zeus s’est métamorphosé en taureau blanc pour approcher et séduire Europe. Ce « roi des dieux » est toujours attiré par le potentiel féminin humain malgré sa relation tumultueuse avec Héra, sa divine épouse. L’Olympien invite l’ingénue sur sa monture pour l’emmener sur l’île de Crète. Sous un platane qui conservera toujours sa verdure, il consume son feu divin ou foudre céleste sous une apparence humaine afin d’ensemencer Europe de trois enfants dont Minos sera l’aîné. C’est souvent ainsi que nous est relatée dans la mythologie grecque la création d’une nouvelle race d’humanoïdes : les Héros qui sont en quelque sorte des créatures hybrides à forte potentialité divine, contrairement aux autres créations dites « adamiques » produites pour obéir aveuglément à leurs ordres. Les processus d’ensemencement décrits dans les mythes peuvent masquer une autre réalité en traduisant de façons voilées des procédures de manipulations génétiques.

Thésée est le fils de Poséidon et d’Aéthra, épouse d’Égée le roi d’Athènes. Ce dernier étant stérile, Poséidon use d’un subterfuge souvent utilisé par les dieux ou Intelligences Non Humaines. Il emprunte l’apparence corporelle d’Égée, pour qu’in fine, la royale condition ait un héritier mâle. Avec la complicité de Sosie, Zeus avait utilisé le même stratagème en se métamorphosant dans le corps d’Amphitryon pour abuser son épouse Alcmène et générer le jeune Alcide qui deviendra à sa maturité : Héraklès (Hercule dans la réplique romaine), l’un des principaux héros fondateurs de la Grèce Antique. Thésée étymologiquement  « l’Institution » ; en tant que progéniture de Poséidon incarne la dimension céleste qui s’installe sur terre. Des éléments précis de son histoire nous révèlent une présence démonstrative de l’aigle pour accorder à Thésée une évidente signature alchimique avec l’élément air. Ceci met en exergue la polarité dynamique de l’air avec l’aigle et de la terre avec le labyrinthe.

Minotaure est également le fils de Poséidon, lequel s’est uni avec Pasiphaé l’épouse de Minos devenu roi de Crète après avoir écarté ses deux frères cadets des arcanes du pouvoir. Comme Zeus avec Europe, Poséidon s’est servi du taureau blanc pour subjuguer la reine. Il est à noter que dans la Tradition Occidentale, depuis l’Égypte Antique, le taureau représentant la polarité force et puissance, fait partie du bestiaire divin parmi les douze autres figures symboliques majeures. La tradition encore et toujours vivace dans le Pays Basque nous évoque un « Zezen » -taureau- « gorri » -rouge-, un génie gardien de la terre -Lurra-, tapi dans les profondeurs des grottes pyrénéennes. Minotaure incarne la dimension chtonienne de la polarité constituée avec son demi-frère Thésée. Minotaure, cet humanoïde à tête de taureau aux deux cornes largement déployées (contrairement au casque de Minos portant une paire retournée vers l’intérieur comme celles d’un bélier) est également doté d’une longue queue (rarement représentée parce que sa signification bouleverserait le dogme académique) qu’il peut remonter jusqu’à ses épaules. Ce détail peut nous faire penser à un autre animal (antérieur au taureau dans l’histoire des civilisations) de nature reptilienne.

Poséidon est l’Intelligence Non Humaine créatrice du mythe qui nous renvoie inexorablement vers les forces occultes de l’intérieur et des origines. Ce dieu, aussi cette part divine de notre âme, nous invite à rechercher et à puiser dans nos mémoires oubliées, sans qu’elles soient définitivement perdues, pour trouver des réponses à nos aspirations spirituelles. C’est à cet endroit que réside le génie des Intelligences Non Humaines ou Dieux ou Étrangers-Aliens : ils nous aident à ouvrir l’esprit humain adamique selon les périodes cycliques et les connaissances dont les hommes disposent, suivant les révolutions archétypales : la stagnation, la naissance, la croissance, la décroissance et la mort.

 

1 – 7 En prenant l’apparence d’humanoïdes (dans le passé, le présent et le futur), ils font un effort manifeste de s’adresser à notre condition de matière dense afin qu’elle s’élève et se subtilise. De même, lors des communications médiumniques, ce sont les entités aux dimensions les plus subtiles qui initialisent le mouvement de connexion vers les humains adamiques « engrammés » dans cette troisième dimension, parfois en phase avec un quatrième plan énergétique.

À ma connaissance, aucun mythe ne relate l’histoire d’un humain adamique initiant le contact avec une entité divine (stellaire ou intra-terrestre) sans conséquence spirituelle douloureuse. L’expérience d’Icare soutenu par Dédale est une illustration de la forte probabilité de la chute. Dans mon expérience d’accompagnant dans l’approche transpersonnelle, j’ai pu constater que bien « des fusibles aient pu griller » face à l’intensité d’une telle charge émotionnelle, trop importante, surtout pour un ego surdimensionné sous une apparence spirituelle, ou a-conscient, mu par l’envie d’élévation sans garde-fou, sans bâton de foudre…

 

1 – 8 La polarité de l’âme incarnée par les Héros, créée par les dieux nous montre ce que dans l’âme ou l’Être Intérieur, la partie divine est capable de réaliser, également ce que la partie humaine doit éviter de faire ou d’entreprendre. Tous les Héros ont des destins extraordinaires. L’esprit ignorant a tendance à ne retenir que la partie surnaturelle ou surhumaine, alors que l’enseignement de leurs aventures nous est précisément décrit dans les obstacles, les incapacités, les impuissances du règne humain face à ses défis. Sans cette conscience, l’intelligence humaine adamique se créé des illusions, des fantasmes, des allégories et des égarements spirituels. S’identifier aux Héros  par le biais du cinéma (l’époque actuelle en a de plus en plus recours aux techniques de l’imagerie virtuelle) est un leurre qui génère beaucoup de confusions. Se donner les moyens par une démarche intérieure et la puissance potentielle de notre esprit d’entrer en contact avec ces forces-là est autrement plus engageant sur tous les plans de la vie.

 

 

2 – LA CONSCIENCE DES LABYRINTHES

Qu’ils soient naturels sous la protection de Mère-Nature ou construits grâce à l’aide et l’influence des Intelligences Non Humaines, quelles que soient leurs formes (circulaire, octogonale, carré…), les labyrinthes sont installés sur des emplacements spécifiques de Gaïa, en tant que terre vivante.

2 – 1 Labyrinthe et Conscience

L’approche par la mythologie intégrée et incarnée m’a permis d’accueillir les signes existant de façon opérative de divers autres langages, d’expressions à décrypter, d’informations « en poupées russes », de messages d’une autre nature. Ma démarche de la psychologie des profondeurs, il s’agit de l’une de mes portes d’accès à ces réalités-là, développées par les personnes se référant aux ouvertures spirituelles de Carl Gustav Jung, s’est métamorphosée dans une nouvelle dimension. Inattendue, inespérée, imprévisible et cohérente !

Ce processus s’est déroulé sur plus d’une vingtaine d’années avant que les premières informations développées maintenant ne m’atteignent en conscience (patience donc!). En fait, les signaux étaient déjà émis -plus précisément, depuis mon processus de naissance-, et il m’a fallu toute cette durée pour devenir perméable à la lumière-clarté et être réceptif à leurs échos.

 

2 – 2 Labyrinthe et Être Intérieur

Ma relation singulière avec les labyrinthes m’a toujours amené à envisager qu’elle devait aller toujours et encore plus loin dans l’intégration et entrevoir la profondeur de mon Être Intérieur. Non pas, par facilité ou convenance par rapport au regard de l’autre et/ou loyauté vis-à-vis de l’ordre établi des croyances, qui font subrepticement emprunter les voies du mental, celles diverses et variées qui figent la pensée dans une immobilité intellectuelle, ni celles de la sphère émotionnelle qui active des soubresauts autant superficiels que réactionnels. La vie m’a d’abord permis de mettre en ordre mes pensées et mes idées (au sens platonicien du terme) et de clarifier les semblants rationnels de l’ego et les réflexes grossiers des affects. Ce temps de maturation m’a permis de me détacher des attentes et d’un aléatoire besoin de reconnaissance.

Ce mûrissement m’a fait faire des retours imprévus d’expériences préalablement vécues afin de donner du sens à une démarche personnelle qui se révèle au fur et à mesure des ouvertures de consciences. Ces aspects seront développés lors de prochains chapitres.

 

Cependant, le facteur déclenchant ouvrant les liens entre les labyrinthes et les Intelligences Non Humaines fut la rencontre avec un objet volant non identifié. Vécue avec ma compagne, je n’étais pas seul, nous avons été en contact visuel durant environ deux minutes avec l’engin.

 

2 – 3 Labyrinthe et révélation

L’évènement s’est déroulé en début de nuit, suite à une journée dédiée à des expériences de contacts avec des réalités invisibles. Sur le moment, aucun bruit, dans une atmosphère parfaitement silencieuse, nous avons observé le phénomène en ayant conscience sur l’instant d’être en contact. Plus précisément, de recevoir une sorte de téléchargement  des deux hémisphères cérébrales, sans en connaître le contenu, ni dans l’ensemble ni éléments précis. Après un temps de latence ou d’intégration, j’ai reçu des ordres sous formes de commandements bienveillants pour accomplir certaines tâches. Spontanément, j’ai saisi que si je ne répondais pas positivement aux injonctions reçues, la relation devait être « cash » et instantané, ce contact n’aurait pas de suite. Certaines de mes expériences initiatiques et transcendantes m’avaient auparavant appris à être libre, ouvert, souverain et engagé dans le processus proposé devant moi.

Via mon Être Intérieur, identifié et libéré -l’ordre inverse est également pertinent-,  les Intelligences Non Humaines m’ont sollicité pour référencer et inventorier tous les labyrinthes et les déambulatoires (étymologiquement : « promenades » autour de certains chœurs et absides d’églises ou des cathédrales) de France et par extension évidente, d’Europe. Ces recherches méthodiques m’ont permis de faire une cartographie précise des hauts-lieux et des sites. Retrouver les constructions actuelles, les anciennes, les détruites, les référencées, fut une véritable sinécure.

 

 

2 – 4 Labyrinthes et portes de l’Agartha

À l’heure actuelle (ce chiffre peut encore évoluer), j’ai identifié et recensé 37 labyrinthes et 157 déambulatoires sur le territoire métropolitain français, et 78 autres  labyrinthes et 23 autres déambulatoires en Europe. Ces chiffres ne sont pas exhaustifs, néanmoins ils donnent une idée de l’impact de l’énergie des labyrinthes sur ces territoires. Il existe un maillage énergétique sur l’Europe et particulièrement concentré sur la France. Certains de ces points sont évidemment connus : Chartres, Paris, Amiens, Reims, etc… Cependant, ils font partie d’un ensemble, et dans ce cadre-là, l’importance des ceux cités sont relatifs par rapport au Tout.

En faisant l’inventaire, j’ai pris conscience qu’il s’agissait de répondre à la question naturelle sur les origines de tous ces points d’acupuncture de Gaïa en France et en Europe. Cette épreuve était légitime. Elle m’a permis de faire les liens entre les réseaux des méridiens dans le corps humain et les réseaux reliant les hauts-lieux énergétiques sur les territoires concernés. L’énigme subséquente était de reconnaître qui était à l’origine et/ou quel était le processus de cette trame d’interconnexions. Vaste mystère plein de secrets sur lequel j’évite de me pencher pour rester concentré sur mes recherches, mes observations et les créations de mon Être Intérieur.

 

2 – 5 Labyrinthes et révélation d’êtres vivants dans l’Agartha

L’étape suivante dans ce mécanisme inédit fut d’explorer pour trouver des lignes de force. Bien entendu, le mental désirait reprendre la main : dans ce cas, il ne conduisit qu’à des impasses aussi alambiquées que les figures de Dédale. Il s’agissait d’ouvrir la conscience vers du non référencé, de l’inconnu, du mystérieux, de l’occulte (étymologiquement : caché). Une autre instance devait être activée.

 

C’est l’Être Intérieur qui s’est manifesté en révélant à ma conscience son nom. Grâce à ce premier levier d’identification de la fractale divine, et subrepticement par son génie créatif, il a fait surgir – ou réapparaître – dans mon esprit, une forme, une figure vivante, une représentation extraordinaire qui s’éveillait enfin au grand jour. Une fois née dans ma conscience, j’ai accepté et compris que cette créature m’habitait depuis longtemps. Je pris conscience que je dessinai une ébauche déjà apparentée durant mon adolescence – charmée par les civilisations inconnues -, en relation bien avant cette incarnation, dans d’autres densités hors espace et hors notion de temps linéaire.

 

2 – 6 Les premières informations venues de l’Agartha

Après une période de latence durant laquelle je recevais des messages de l’Être Intérieur m’encourageant à oser ouvrir encore plus les portes de l’intuition, je fus littéralement surpris par un élan créatif inédit. Telle m’est apparue en vision cette créature sur une carte de France. Tous les points qui étaient déjà répertoriés, se sont alignés et assemblés comme par enchantement. Aucune magie dans cette création. C’est l’expression directe, spontanée, flamboyante, inspirée par mon Être Intérieur qui a fait naître – ou renaître – cette forme vivante. Simultanément au dessin, son nom m’est venu, ainsi que sa fonction et son langage selon un mode de communication et d’expression singulière et unique. Le dessin tracé n’est que le début d’un processus. Une fois la porte ouverte, l’invisible devenu conscient, une relation régulière et une communication singulière se sont installées à partir de ce support, de ce médiateur, de ce canal…

Suite lors d’un prochain article : « Des labyrinthes aux portes de l’Agartha 2 « 

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